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COMME UN ENFANT
COMME UN ENFANT
Comme un enfant
Cheveux au vent
Qui prend le temps de rêver
Et qui se soucie bien peu
Des dangers
Comme un enfant
Dans le printemps
De sa vie de ses folies
Je voudrais retrouver
Cet infini
Me transporter dans la magie
Des noëls blancs
De l'arbre qui scintille de mille présents
Les saveurs de tous ces instants
Evidemment
Le sourire de maman
Nous bordant au couchant
Comme un enfant
Cheveux au vent
Qui prend le temps de rêver
Et qui se soucie bien peu
Des dangers
Comme un enfant
Dans le printemps
De sa vie de ses folies
Je voudrais retrouver
Cet infini
Et survoler tous les pays
Imaginaires
Du Petit Prince jusqu'a Harry Potter
Avoir les genoux écorchés
Rire d'un rien
Dans un ballon frapper
Retrouver mes copains
Comme un enfant
Cheveux au vent
Qui prend le temps de rêver
Et qui se soucie bien peu
Des dangers
Comme un enfant
Dans le printemps
De sa vie de ses folies
Je voudrais retrouver
Cet infini
Comme un enfant
Cheveux au vent
Qui prend le temps de rêver
Et qui se soucie bien peu
Des dangers
Comme un enfant
Dans le printemps
De sa vie de ses folies
Je voudrais retrouver
Ma rêverie
Jean-Michel LELEU/Jean-Pierre LOMBARD
SACEM
l'enfant illustrant la chanson est l'ami compositeur Jean pierre LOMBARD ( il y a longtemps bien sûr !!! )
Commentaires (5)
1. lombard 08/05/2007
Merci Jean-Mi de mettre sur mes notes des mots qui collent si fort à ce que je resens
2. hirondelle 09/05/2007
Belle parole .... l'enfance et l'innocence passent si vite .......
chantal
http://www.e-monsite.com/lemondedhirondelle
3. lombard jean -pIERRE 10/05/2007
mON PETIT SALAUD IL EST ECORE TOUT JEUNE ET SE SENT JEUNE ENCORE MALGRe LE PETIT CRABE.
4. SIlana 17/12/2008
Bonjour,
ces paroles m'ont beaucoup touchées. J'aimerais les partager avec les lecteurs de mon blog, me permettez vous de les recopier en vous citant et en faisant un rétrolien vers votre site ? Merci d'avance
Silana
5. Jean-Pierre MATHIEU 30/08/2020
Merci Jean-Michel pour ce texte qui évoque si bien le temps de l'innocence et du paradis perdu mais qui revient parfois comme une madeleine de Proust quand on a gardé encore les yeux émerveillés de l'enfance !